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Víctor I. Stoichita
Université de Fribourg
Suiza
Vol. 12 Núm. 12 (2013), Tema
DOI: https://doi.org/10.15304/qui.12.2278
Recibido: 10-12-2014
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Resumen

Le trompe-l’oeil cinématographique précède l’invention du cinéma. Il naît dans la peinture, au moment où les artifices mis en jeu arrivent à briser la “frontière esthétique”1, en suggérant un dépassement dynamique des limites de l’image. La magie de cet exploit apparaît d’abord dans le domaine pur de la peinture des premiers Temps Modernes. Ses origines sont très lointaines.Parcourir toutes les étapes menant des expériences fondatrices à celle de l’animation permise par l’invention de la technique cinématographique dépasserait de beaucoup les limites du présent article. Je me contenterai pour cette raison d’une très brève incursion dans la préhistoire immédiate du trompe-l’oeil cinématographique, à l’époque de grande effervescence technique que fut le XIXe siècle, pour pouvoir me consacrer ensuite (et d’une manière plus analytique) à la considération d’un des exemples les plus marquants de trompe-l’oeil proposé par le cinéma de la seconde moitié du XXe siècle.
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